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Le défi des médecines alternatives

À leurs débuts, la psychologie et la psychanalyse n'étaient pas considérées comme des sciences ou des disciplines thérapeutiques viables. Leur sérieux était continuellement remis en question par des détracteurs qui niaient encore les premiers résultats probants de ces nouvelles pratiques. Aujourd'hui, cela se reproduit avec des thérapies alternatives, nouvelles ou anciennes, qui visent à soigner.

Comprendre le défi

Qu'il s'agisse de l’acupuncture ou de la réflexologie dont les techniques étaient connues et pratiquées depuis longtemps déjà, ou qu'il s'agisse de la luminothérapie, de la naturopathie ou de l'homéopathie qui sont relativement récentes, le problème reste le même. Il y a encore trop de personnes qui doutent de l'efficacité de ces traitements nouveaux.

D'une part, ce doute est alimenté par l'absence de corrélation directe avec des principes de la médecine occidentale. D'autre part, elle est justifiée par l'absence de rigueur de certains praticiens de ces médecines alternatives.

Des solutions envisageables

Pourtant, de nombreuses études scientifiques commencent à lever le voile sur la question. ces nombreuses médecines alternatives commencent à être envisagées comme des traitements complémentaires ou parfois des substitutions pour des patients qui seraient susceptibles de souffrir avec la médecine classique.

Cela dit, pour combattre les préjugés dont ces médecines souffrent, il est impératif que les praticiens se fédèrent, et qu'ils instituent des règles, des principes et des normes autour desquelles la pratique de ces médecines alternatives pourra être exercée de façon sérieuse.
Cette structuration permettra également de mieux créer des liens entre ces sources alternatives de bien-être et la médecine classique.